« Ton voyage légèrement commence,
Où la neige du matin en tous sens,
Unifie le charbon embrasé,
Source d’un essoufflement libéré. »
Sous la lune parlaient nos deux chers frères,
« Observes-tu des signaux dans les airs ?
Nos pensées, ces ondes laissent-elles bien trace ? »
Témoignant ainsi cette autre face :
« Ouvre ton esprit, bien que surprenant,
N’emprunterais-tu pas deux courants ?
De cet éveil, gardant notre sillage,
Élevons la magie du voyage. »